Tests

Dragon Ball Z Kakarot

Goku de sang neuf

Quand on évoque les jeux d'aventure estampillés Dragon Ball, on pense plutôt au rétrogaming et aux consoles portables. Ainsi, lors de son annonce l'an passé, Dragon Ball Z Kakarot avait de quoi surprendre : un titre de ce genre sur les consoles de salon, voilà qui n'est pas banal. Petite lueur d'espoir malgré tout, puisque nous apprenions que le titre était développé par CyberConnect2, déjà derrière les excellents jeux Naruto Ultimate Ninja Storm. Une collaboration qui a souvent été fantasmée ces dernières années par les fans de Dragon Ball.

Shenmue III

Comme au bon vieux temps

Si en 2000, on m'avait dit que 20 ans plus tard je testerai le troisième épisode de Shenmue pour un site dédié au jeu vidéo, je ne l'aurais pas vraiment cru. Si en 2009, quand j'ai commencé à écrire pour Gamatomic, on m'avait dit que je me chargerai de la critique de Shenmue III une décennie plus tard, il en aurait été de même. Tout cela pour dire que l'un des jeux les plus attendus de tous les temps a vu le jour, et que c'est à peine croyable.

GRID : Ultimate Edition

Season Pass, Saison 1 : la revanche ?

GRID sort sa première saison du garage en ajoutant un circuit (Paris), 30 épreuves, 3 Showdowns et 4 voitures. De quoi redorer le blason d'un jeu qui s'était pris quelques murs de mauvaises notes à sa sortie en octobre 2019. Joueurs et journalistes lui reprochaient trop peu de circuits, trop peu de voitures, un mode Carrière anémique, bref, une radinerie qui contrastait avec son prix de lancement : 60 € pour la version de base, 90 € pour l'Ultimate Edition avec son Season Pass. Sans parler de la compétition féroce sur le créneau des jeux de course arcade. Entre l'arrivée bienvenue de cette première saison et les soldes, il est temps de soulever à nouveau le capot pour un contrôle technique.

The Monkey King : Hero is Back

« Moooooonstres !!!! »

The Monkey King : Hero is Back a une histoire pour le moins intéressante, puisque le jeu est l'adaptation d'un film d'animation de 2015 qui a eu un succès sans précédent sur le continent chinois. On peut se demander pourquoi une telle adaptation a mis plus de quatre ans à voir le jour. Le jeu fait partie d'un programme signé par Sony, le China Hero Project, afin de mettre en lumière certains jeux et éditeurs chinois. Pourtant le jeu arrive chez nous en étant distribué par THQ Nordic. Un parcours de vie pour le moins original pour un jeu surprenant.

Terminator : Resistance

Ambitieux, trop ambitieux

Dans le futur de Terminator : Resistance, l'intelligence artificielle Skynet commence la fabrication des premiers assassins cybernétiques à apparence humaine, les T850. Leur but ? Infiltrer les poches de résistance sans se faire repérer. C'est ce que Terminator : Resistance essaye de faire avec la ludothèque des joueurs, en copiant des jeux de rôle comme Fallout 4 et des FPS comme Battlefield V, rien que ça – mais avec un centième de leur budget. La comparaison avec les tauliers du genre va ruiner cette tentative, brûlant des tissus humains trompeurs pour révéler un endosquelette trop robotique et des microprocesseurs rudimentaires.